All in vs all consume

Ça fait plusieurs années que je suis l'athlète hybride Nick Bare.

Nick bare cours des marathon et fais de l'entrainement en salle en vue grossir. Pas le genre de chose qu'on s'attend d'un marathonien.

Mais pendant un de ses podcast, il a apporter le concept du All in versus All consume.

All in signifie être à fond dans un projet sans plan B.

All consume signifie être obséder par son objectif. Tout ton existence est expliquer par le seul objectif tu t'es fixer.

Mon expérience avec All in vs All consume

Pour les gens qui me connaissent bien savent que je suis une personne intense dans la vie.

J'ai débuter le CrossFit en mi 2016. Ça commencer avec 2 fois par semaine. (je ne pouvais pas plus, j'étais bin trop raquer ahah).

Puis, tranquillement pas vite je suis monter à 3 fois, 4 fois par semaine, 5 fois par semaine

Un jour, j'ai décider d'y aller all in avec le CrossFit. Le but était de voir si je ne laisse RIEN de coter, jusqu'à où je peux me rendre. J'étais coach dans le plus centre de CrossFit et ma journée se déroulait au gym du matin au soir.

Comme dirait mon oncle Dada, je mangeais des céréales au CrossFit le matin.

Finalement, j'ai fini par m'entrainer 10 fois par semaine. Je m'entrainais en moyenne 20-24 heures par semaine.

Chaque décision de ma journée tournait alentour d'une question. Est-ce que cette décision augmente une diminue mes performances.

Les sorties familiales, les soirée avec des amis ou tout activité sociale devient des choses de plus en plus rare.

Le problème.

Venu un temps où l'entrainement occupait 100% de l'espace dans mes pensée. Tout ce que je faisais étais pour optimiser mon entrainement.

Le point tournant ou une obsession tourne du côté positif au côté obscur, c'est quand ça devient un stress.

On a notre idée d'une journée parfaite. Mais la vie nous envoie un million d'imprévus. Si on n'est pas en paix avec les imprévus et que la journée n'est pas optimal. On bascules en all consume. Ce sentiment de stress que rien ne vas comme on se sent impuissant face à l'imprévus. Comme si une seule mauvais journée va affecter ta progression.

Bonus, on devient irritant. Les proches ressentent nos émotions. Nous voila embarquer dans un cercle vicieux de mauvaise humeur familiale. Faut faire attention, c'est contagieux les émotions.

“The more you’re obsessed by something the better chance you have of achieving it.” Frank Zane

Qu'est-ce que je ferais différement?

À refaire, qu'est-ce que je ferais différemment ?

En fait, j'applique ce principe avec ma nouvelle passion pour la course.

Tout mon énergie est déployé à apprécier le parcours. Je fais tout en mon pouvoir pour améliorer ma course c'est-à-dire :

• Bien manger
• Courir 5-6x par semaine
• Prendre soin de mon corps
• Sommeil de 8-9h
• Apprendre sur la course

La grosse différence, c'est que mes standard sont plus "loose".

Ma plus jeune pleure 1 heure non-stop dans la nuit à cause qu'on a enlever la suce (comme cette nuit lol). C'est pas grave.

Mon beau-frère m'offre une bière à une soirée chez eux, j'accepte (mais j'arrête à deux haha).

Quand ma belle-mère nous fait une lasagne, j'en mange! Je ne calcule plus mes macros à chaque repas. Je ne "chase" pas les macros parfait.

Je ne peux pas finir mon entrainement parce qu'à la maison c'est la troisième guerre mondiales. Les filles sont sur le point de défoncer tous les murs de la maison. J'arrête mon entrainement et j'accepte la situation.

Maintenant le plus gros : je skip des entrainements quand ça adonne vraiment pas dans la journée. Personnellement, c'est le plus gros shift mental que j'ai fait.

Avec des enfants, être malade fréquemment fait partie intégrante de la routine hahaha. Donc, c'est primordial que j'ajuste l'intensité de mes entrainements selon la situation.

J'ai mal dormi, je diminue le volume. Je suis malade, soit je skip une journée ou je diminue l'intensité.

Je pense sincèrement que de suivre son plan d'entrainement à 100% et rien changer selon sa condition de la journée. C'est contre-productif et limite sa progression.

5 étapes pour y aller ALL IN.

Par contre, je comprends que si ton objectif est d'être le meilleur au monde dans ton domaine.

Il est impossible d'avoir une vie équilibrée et d'atteindre l'excellence. Ça demande des périodes d'activités condensé en peu de temps pour avancer plus vite.

Le stress vient du fait que tu pousses la machine sans savoir c'est quand ça finis. Les courses les plus dure mentalement, son celle qu'on ne connait pas la fin. Comment ajuster son effort?

Voici 4 étapes pour maximiser vos périodes de blitz

1. Établi ton "why".

• Ton why, c'est ta fondation. Un "why" plus fort permet de passer plus facilement à travers les obstacles.

2. Choisis une période spécifique, ex: 90 jours.

• Afin de mieux répartir son effort. C'est dure d'être focus toute l'année. Mais tout le monde peut faire un blitz de 90 jours.

3. Avise ton entourage.

• Tes proches vont pouvoir mieux te supporter. Ils vont savoir qu'il y a une fin à cette période de focus intense.

4. Do the f*cking work.

• Travaille comme un déchainer. Met tout ton coeur et ta passion ! Make it worth !

5. Après le blitz. RECOVER HARDER

• Prépare toi un moment de relaxation.
• Décompresse mentalement et physiquement.
• Rérospection sur ton blitz
  • Les apprentissages
  • Les réussites
• Soit sure qu'avant de retourner, ça te tente vraiment. Avoir le couteau entre les dents.

Avertissement :
Les conseils présentés dans ce contenu sont fournis à titre informatif seulement. Ils ne remplacent pas l’avis d’un professionnel qualifié et pourraient ne pas convenir à votre situation spécifique. Pour toute question ou conseil adapté à vos besoins, consultez un expert qualifié dans le domaine.